Commande

Bonjour, Bonsoir Mademoiselle la créatrice   
Après avoir fait un petit tour sur tes dons et vu que cela me plaisait beaucoup, j'ai décidé de poster ma commande, en espérant que cela ne te surcharge pas de travail. En tout cas, merci !

:: Pseudo ; Caelis.

:: Type de création ; Les deux si possible.

:: Texte ; Undisclosed Betrayal

:: Couleur(s) ; Au feeling.

:: Ambiance ; Je dirais en trois mots : folie, souffrance mais aussi cruauté.

:: Forum sur lequel la signature sera ; http://deawee-lilwyn.forums-actifs.com/.

:: Autres précisions : Si jamais, cela peut t'aider à mieux imaginer le personnage, voici pour toi :
"Il erre dans les limbes décharnés de son âme, divaguant entre songes et chimères, se maudissant de quelques actes passés, cherchant dans l’inconscience l’abandon de la folie, et laissant sur la poussière de son être quelques tâches éparses de sang. La danse macabre ne cesse, il virevolte dans la cruauté et la souffrance qu’il s'inflige sans peut-être deviner, que son seul ennemi est lui-même.  Il méprise les autres puis se maudit, cherchant la limite entre ces deux douleurs sans jamais pouvoir trouver la violence qu’il désire. Il manipule ceux qui le croisent pour s’assurer de toujours posséder les autres, par égoïsme, par peur ou selon quelques principes ancrés qu’il se serait inventé. Il vit dans cette fraction intemporelle, cet instant que les autres n’ont pas su voir et qu’il s’est crée pour vivre avec ses démons intérieurs. C’est un fin stratège lorsqu’il a une idée en tête et veut parvenir à son but mais il suffit de le pousser dans sa paranoïa pour que l’enfer jaillisse, que la violence se déchaîne sous le coup d’une impulsivité incontrôlée. Dans la noirceur de son monde, il n’y connait pas le remords, il y est bien trop détaché, un étranger à lui-même qui fixe de ses yeux mornes, la terne beauté de la vie. Il se dévore lui-même tout en accusant les autres d’en être les coupables, d’être des vermines grouillantes qui viendraient inhiber son âme. Chacun a besoin de malheur pour trouver dans sa souffrance le bonheur auquel on pensait ne jamais avoir accès. Lui, se dit maudit, un squelette décharné qui rongerait tout ce qui l’entoure pour se consoler dans le néant. "

:: Photo(s) ;
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